Le vaccin peut vous donner l’impression d’être « sale » – mais obtenez-le quand même

Le vaccin peut vous donner l’impression d’être « sale » – mais obtenez-le quand même

Vous en aurez besoin pendant encore plusieurs mois.

Les nouvelles des progrès réalisés dans la recherche d’un vaccin sûr et efficace contre le coronavirus ont été accueillies avec optimisme quant au retour à une vie normale, mais les experts affirment que cela n’arrivera pas de sitôt, même si le vaccin est autorisé avant la fin de l’année.

"Les gens ne devraient pas considérer les vaccins comme un sauveur", a déclaré le Dr Paul Offit, professeur de vaccinologie à l’Université de Pennsylvanie. "Les vaccins sont, avec les mesures d’hygiène, un moyen de contrôler ce virus, mais nous avons besoin des deux. Les vaccins ne seront pas magiques. … Vous ne pouvez pas abandonner l’un au profit de l’autre."

Les défis de distribution, l’efficacité du vaccin et l’acceptation du public aideront à déterminer son impact.

"Si nous disposons d’un vaccin très, très efficace et que nous convainquons la plupart des habitants du pays de se faire vacciner, nous pourrions revenir à un degré de normalité peut-être d’ici la fin 2021", a déclaré le Dr Anthony Fauci, considéré en tant que plus grand expert en maladies infectieuses du pays.

– Karen Weintraub

Si les matchs de la NFL sont annulés à cause du COVID-19, les séries éliminatoires pourraient s’étendre

Si le coronavirus force l’annulation de matchs importants dans la dernière partie de la saison régulière de la NFL, laissant certaines équipes potentielles en séries éliminatoires avec des records inégaux et la ligue n’ayant pas le temps de rattraper ces compétitions, le champ des séries éliminatoires pourrait s’étendre à 16 équipes.

Les propriétaires de la NFL se sont réunis mardi virtuellement et ont voté pour approuver le plan d’urgence proposé par le comité de la compétition.

Les responsables de la Ligue espèrent que la saison régulière pourra se poursuivre avec peu d’interruptions et rester conforme au calendrier de 17 semaines qui se terminera le 3 janvier.

-Mike Jones

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Deux autres matchs de football de la SEC reportés

Le calendrier des matchs de football de la SEC de samedi ne cesse de se réduire.

La conférence a déclaré mardi que le match entre l’Alabama, le mieux classé, et le champion national en titre LSU, avait été reporté en raison d’infections à coronavirus, ainsi que de la nécessité de rechercher les contacts et de quarantaines. De plus, le match Texas A&M-Tennessee a été reporté en raison d’une épidémie parmi les Aggies.

Lundi, la SEC a déclaré que les perturbations induites par le coronavirus forceraient le report du match d’Auburn dans l’État du Mississippi.

"Bien qu’il soit regrettable d’avoir plusieurs reports au cours de la même semaine, nous avons commencé la saison en sachant que des interruptions du calendrier étaient possibles", a déclaré le commissaire de la SEC, Greg Sankey, dans un communiqué.

Cela porte à 15 le nombre total de matchs annulés ou reportés parmi les écoles de la subdivision Football Bowl rien qu’en novembre.

Les taux de mortalité au Tennessee sont deux fois plus élevés dans les comtés sans mandat de masque

Les taux de mortalité par coronavirus sont nettement plus élevés dans les comtés du Tennessee qui n’exigent pas que les résidents portent des masques, selon une nouvelle recherche de l’Université Vanderbilt qui met en évidence les inquiétudes concernant l’approche comté par comté en matière de masques et augmentera probablement la pression sur le gouverneur pour qu’il promulgue une loi à l’échelle de l’État. mandat.

La nouvelle recherche a révélé que les comtés qui n’ont jamais adopté de mandat de port du masque ont enregistré environ quatre décès pour 100 000 habitants dès la première semaine d’octobre. Les comtés dotés de mandats ont enregistré environ un ou deux décès pour 100 000 habitants, selon la date à laquelle ils ont promulgué le mandat.

Cependant, toute cette différence ne peut pas être attribuée exclusivement aux masques. Dans les comtés où le port du masque est obligatoire, les résidents pourraient prendre davantage soin de se protéger en se lavant les mains et en respectant la distanciation sociale, ce qui contribuerait à réduire le taux de mortalité, indépendamment du port du masque.

– Brett Kelman, Nashville Tennessien

Les dernières données montrent une augmentation constante des cas et des hospitalisations

Une analyse USA TODAY des données de Johns Hopkins jusqu’à lundi soir montre que 32 États ont établi des records de nouveaux cas sur une période de sept jours, tandis que quatre États ont enregistré un nombre record de décès en une semaine. Étonnamment, les 50 États ont connu une augmentation des nouvelles infections. Au cours du mois dernier, du 9 octobre au 9 novembre, le nombre de cas a au moins triplé dans 16 États.

Le Dr Anthony Fauci et d’autres experts ont attribué à l’amélioration des traitements la réduction du nombre total de décès – bien que la moyenne mobile sur sept jours des décès quotidiens continue de osciller autour de 1 000. Cela représente une baisse par rapport à près de 1 500 par jour en mai. Mais près de 60 000 nouvelles hospitalisations ont été signalées lundi, poursuivant une hausse constante qui a plus que doublé depuis le 20 septembre.

L’Illinois a dépassé mardi le demi-million de cas confirmés et a signalé plus de 12 000 nouveaux cas quotidiens, poursuivant sa tendance aux chiffres records ces derniers jours.

« Nous voulons tous que cela cesse, mais nous devons nous préparer pour l’hiver. Ce n’est pas encore fini… nous avons potentiellement des mois de combat devant nous », a déclaré le gouverneur JB Pritzker, implorant les habitants de porter des masques et de cesser de tenir des rassemblements à l’intérieur de leurs maisons. « Neuf mois, c’est long, mais nous ne pouvons pas baisser la garde. Regardez ces chiffres.

– Mike Stucka et Grace Hauck

Le vaccin peut vous donner l’impression d’être « sale » – mais obtenez-le quand même

Il est maintenant temps de commencer à dire clairement à l’Amérique à quoi s’attendre du vaccin COVID-19, ont déclaré à USA TODAY plus d’une douzaine d’experts médicaux et de santé publique. Cela inclut l’avertissement qu’un vaccin contre le COVID-19 ne sera probablement pas efficace à 100 %, que son obtention donnera à un nombre important de personnes « l’impression d’être cruelles » pendant un jour ou deux, et que deux injections seront nécessaires, pas une seule.

Le ministère de la Santé et des Services sociaux affirme que plusieurs agences gouvernementales travaillent avec Operation Warp Speed ​​et d’autres groupes sur une solide campagne d’information sur la santé publique axée sur la sécurité et l’efficacité des vaccins.

"Cela devait se produire hier. C’est comme assister à un accident de train", a déclaré Daniel Salmon, directeur de l’Institut pour la sécurité des vaccins à l’école de santé publique Johns Hopkins Bloomberg.

-Elizabeth Weise

Des centaines de personnes sont mortes du COVID-19 dans les prisons du Texas

Le Texas a enregistré plus d’infections et de décès dus au COVID-19 parmi les personnes incarcérées et le personnel que

Fin juillet, environ 9 % des adultes américains avaient été exposés au coronavirus responsable du COVID-19, selon une nouvelle étude sur des patients dialysés, la plus vaste à ce jour, recherchant des preuves de la maladie dans le sang des gens.

Les taux d’infection variaient de pratiquement zéro dans certains États qui avaient évité l’infection au milieu de l’été, à plus d’un tiers des habitants de certaines parties de New York durement touchées au printemps.

Le résultat est que le public américain est loin d’atteindre « l’immunité collective », c’est-à-dire avoir suffisamment d’infections pour empêcher la propagation du virus.

Les taux d’infection sont si inégaux que même si certaines régions ont enregistré des taux d’infection élevés, il est peu probable que les gens y soient protégés car d’autres apporteront le virus d’ailleurs, a déclaré William Hanage, épidémiologiste à l’école de santé publique TH Chan de Harvard.

Hanage craint également que les communautés qui ne sont pas encore touchées par le COVID-19 ressentent un faux sentiment de sécurité.

"Nous nous attendons à ce que les petites villes américaines ne soient pas touchées par la première vague", a-t-il déclaré, mais avec le temps, à mesure que les gens se déplacent davantage et que le virus est introduit à plusieurs reprises, davantage de communautés connaîtront des épidémies.

Le Dr George Rutherford, épidémiologiste et biostatisticien à l’Université de Californie à San Francisco, a été surpris que le taux d’infection national paraisse si élevé. Il aurait pu s’attendre à un taux plus proche de 3 à 4 %. Mais quel que soit le chiffre, a-t-il déclaré, les États-Unis sont loin d’avoir mis fin à cette pandémie.

"La seule façon d’atteindre l’immunité collective, à moins que vous ne soyez dans une communauté très fermée comme une prison, est que tout le monde se fasse vacciner", a déclaré Rutherford.

Hanage a déclaré que l’étude confirme également ce qu’il pensait depuis longtemps : que l’épidémie du printemps a été énormément sous-estimée, « ridiculement », et a commencé plus tôt et a infecté plus de jeunes que ce qui avait été diagnostiqué.

La nouvelle étude, publiée dans The Lancet , est conforme aux études précédentes, plus petites, et a également montré que les zones comptant un nombre élevé de résidents latino-américains noirs et non blancs avaient des taux d’infection plus élevés que les communautés majoritairement blanches.

Stephen Morse, épidémiologiste à la Mailman School of Public Health de l’Université de Columbia, a déclaré que l’étude constituait une contribution importante à une époque où il n’existe pas beaucoup d’informations fiables sur les personnes infectées par le virus.

"La triste vérité est que nous ne disposons pas de données nationales fiables", a déclaré Morse par courrier électronique. "Les tests de surveillance de la santé publique constituent actuellement une énorme lacune. Nous testons principalement les personnes malades et d’autres personnes qui, d’une manière ou d’une autre, peuvent passer un test, et l’accès peut varier énormément, même dans la même ville. Ce n’est pas très utile pour la santé publique. ".

Les patients dialysés, dont les reins sont défaillants, subissent des analyses de sang de routine, les chercheurs ont donc pu utiliser des échantillons de sang existants. Les patients ont été traités dans 1 300 centres de dialyse répartis dans 46 États américains, représentant environ un tiers des comtés.

Les patients dialysés ont tendance à être plus âgés que la population générale et plus diversifiés, car les Noirs et les Latinos sont plus susceptibles de souffrir d’une maladie rénale que les Blancs.

Le Dr Shuchi Anand, spécialiste des reins à Stanford et premier auteur de l’article, a déclaré qu’elle pense que les patients dialysés fournissent un aperçu utile et intéressant – bien qu’imparfait – de l’épidémie de COVID-19.

Les patients auraient peut-être été plus prudents pour éviter l’infection, mais ils étaient également plus susceptibles de subir de graves conséquences s’ils étaient infectés, a déclaré le Dr Glenn Chertow, auteur principal de l’article et néphrologue de Stanford.

"Cela devrait être une assez bonne estimation de la population des États-Unis, avec quelques ajustements mineurs", a-t-il déclaré.

Les données étaient plus précises pour le Texas, New York et la Californie, qui ont tous connu des épidémies très importantes, a déclaré une troisième auteure, la biostatisticienne Maria Montez-Rath. Environ un tiers des patients new-yorkais avaient des anticorps, contre 3,6 % des Texans et 3,8 % des Californiens.

L’équipe prévoit également de continuer à examiner des échantillons de patients dialysés pour surveiller le COVID-19 au fil du temps, a déclaré Anand. "Cela nous donnera une bonne idée de l’épidémie à mesure qu’elle évolue", a-t-elle déclaré.

Contactez Karen Weintraub à kweintraub@usatoday.com

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Près de 10 000 personnes se préparent à assister au rassemblement du président Donald Trump à l’aéroport international de Des Moines mercredi, défiant les conseils des experts de la Maison Blanche visant à limiter les rassemblements sociaux à 25 personnes.

Pendant ce temps, le directeur des Centers for Disease Control and Prevention prévient que les petits rassemblements intimes à l’intérieur des maisons pendant la période des fêtes constituent une « menace croissante » pour la propagation du coronavirus.

Et alors que le besoin d’un vaccin devient de plus en plus pressant – certains responsables de la Maison Blanche approuvant apparemment une « approche d’immunité collective » largement condamnée par les responsables de la santé publique – les experts estiment que les récentes pauses dans les études et les essais de vaccins sont rassurantes et signifient que les processus fonctionnent comme prévu. ils devraient.

Quelques évolutions marquantes :

📈 Les chiffres du jour : les États-Unis

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